Daebak
The Royal Gambler
Au début des années 1 700, durant la dynastie Joseon , deux hommes vont s'affronter pour le trône. Le premier, Yeongjo, est le prince héritier et fils légitime du roi... Arrogant, cynique, compétitif et fier, il n'a jamais cédé à qui que ce soit. Le second, Baek Dae-Gil, est l'enfant adultérin né d'une ...
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Terminée | Coréenne | 60 minutes |
Drame, Drama | SBS (KR) | 2016 |
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1.01 - Episode 1
Episode 1
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Diffusion originale : 28 mars 2016
Diffusion française :
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Réalisat.eur.rice.s :
Scénariste.s :
Guest.s :
Série historique (enfin, qui s'en donne l' apparence) Daebak est une histoire qui se focalise sur une lutte de pouvoir politique, avec en fond un combat d'échec entre celui qui croit à la dignité humaine et le démon du vice.
Seulement, comme trop de séries coréennes, tout va trop vite dans cet épilogue, passant d'un personnage à un autre sans nous laisser le temps de respirer. Très vite, on est un peu perdu face à cette narration très rocambolesque, les scènes se succédants avec pas suffisamment de transition pour empêcher un sentiment de légère confusion.
Mais là s'arrête les reproches car le reste est on ne peut plus plaisant, offrant des personnages archetypes bien choisis qui évitent de passer trop de temps sur un background qui manque d'originalité, même si la scène du combat à l'arc manque de finesse. Comme tout pilot, c'est un peu le bordel, mais l'épisode a le mérite de devenir de plus en plus passionnant avec le temps, jusqu'à un final qui utilise le montage avec intelligence pour marquer combien le vice s'autoalimente dans l'esprit humain, jusqu'à lui retirer jusqu'à sa dignité.
Les acteurs sont bons, voire très bons; la réalisation fait de gros efforts, à l'exception d'une scène d'ouverture assez vilaine avec en toile de fond un combat réunissant une grande quantité de figurants. C'est un peu risible au premier regard, mais cela trahit une volonté de bien faire, d'offrir des plans soignés et détaillés d'une qualité quasi cinémaatographique qui impressionnent, surtout lors du duel final avec la bouteille de fin, simple dans sa réalisation et très efficace au final.
Une série agréable pour l'instant, malgré un pitch de départ nébuleux et un format qui surprend un peu, antre anthologie et récit historique sur fond de corruption, de manipulation du faible par le fort, de vice et de lutte de pouvoir. Bonne pioche pour l'instant.